Vous souhaitez acheter un bien immobilier ! C'est sans doute une bonne idée ! Cependant, ce n’est toujours pas simple, car il faut connaître certains points-clés comme par exemple la rentabilité. Mais attention ! Les défauts et surcoûts du logement loué sont aussi des points à ne pas perdre de vue. Découvrez l’essentiel dans l’article suivant.
La rentabilité locative, une phase capitale pour un investissement immobilier locatif !
Avant de démarrer votre projet immobilier locatif, définissez clairement vos objectifs, car ils varient d’un bien à un autre. Par exemple, investir dans un studio n’est pas la même chose qu’investir dans une grande maison de campagne. En effet, il est important de faire la différence entre la rentabilité à long terme d’un investissement et le rendement calculé sous forme de flux de trésorerie mensuel. La rentabilité est utilisée pour déterminer si l’investissement va ajouter de la valeur au propriétaire du projet. Par conséquent, le taux de rendement se réfère au revenu que les investisseurs espèrent obtenir de la transaction. La notion de rentabilité n’est pas suffisante pour se lancer dans des projets d’investissement immobilier locatif. Pour cela, il est nécessaire de planifier les flux de trésorerie mensuels en fonction des revenus et des loyers.
Pourquoi est-il important de calculer la rentabilité nette d’un bien immobilier locatif ?
Évidemment, la location d’un bien immobilier locatif entraînera une variété de frais annexes (taxe foncière). C’est clair que la plupart des dépenses récurrentes peuvent être récupérées grâce à l’impôt sur le revenu, car ces dépenses peuvent être déduites des revenus fonciers. Sachez que cette déduction n’est effective que lorsque vous êtes imposable. De plus, vous devez payer les frais avant de pouvoir profiter des avantages fiscaux ! Tout d’abord, le loyer peut causer des dommages imprévisibles lors de l’achat. Donc trouver de nouveaux locataires tous les 3, 4 ou 5 ans, vous sera bénéfique. Par ailleurs, pour vous rapprocher d’une rentabilité réaliste, vous devez estimer le coût annuel des dépenses régulières, puis soustraire ce montant du loyer annuel (rentabilité « nette » des frais).